Vous connaissez ?
Les réflexes archaïques font partie des nombreux outils que je vais utiliser au cours d’une séance de kinésiologie, afin de vous permettre de trouver la solution au problème pour lequel vous me consultez.
Les réflexes archaïques sont des réponses involontaires du corps que le bébé possède dès sa conception. Les derniers réflexes restent actifs jusqu’à ses 3 ans.
Ils en existe une soixantaine qui vont permettre au bébé d’assurer sa survie. Puis ils vont ensuite s’intégrer et laisser la place à une réponse volontaire du corps. C’est la réponse du système primitif avant que le cerveau et les organes associés ne soient matures.
Un réflexe est une réaction corporelle spontanée, rapide et involontaire suite à une information reçue par les récepteurs (toucher, vue, ouïe, odorat, …). Les réflexes archaïques sont les premiers programmes neurologiques pour apprendre à bouger. Les mouvements liés aux réflexes sont innés, involontaires et incontrôlables.
Et il se peut que certains réflexes n’aient pas été intégrés, c’est-à-dire, qu’ils sont toujours actifs dans le corps de la personne alors même qu’elle n’a plus besoin de ces réponses involontaires et notamment incontrôlables du corps. Cela arrive souvent chez l’enfant, notamment dans les troubles de l’attention qui sont mis en lumière à l’école.
Un réflexe non intégré va avoir de nombreuses répercussions sur la personne. Cette non intégration peut arriver à différents moments dans l’histoire de la personne. Soit le réflexe n’a jamais maturé et l’enfant vit avec ou l’adulte a appris à s’adapter à cette gêne, soit un choc émotionnel ou physique peut être à l’origine d’une désintégration d’un réflexe et peut provoquer de la gêne dans la vie quotidienne de la personne, même adulte.